Le Reverse mentoring : Retours sur expériences
DOI :
https://doi.org/10.5281/zenodo.6539333Mots-clés :
Reverse mentoring, diversité générationnelle, transfert de connaissance, technologie.Résumé
Le rythme d’accélération technologique ne cesse d’augmenter, et les seniors de l’entreprise, bien qu’ils soient expérimentés dans leurs domaines de spécialité, se retrouvent souvent face à des situations de blocage quant à l’utilisation d’outils technologiques, que ce soit concernant les outils nécessaires au travail, les outils facilitant le travail ou les outils de communication. De l’autre part, les jeunes générations (X et Y), qui sont généralement des juniors, sont des maîtres de technologie, dits “digital natives”. Il est donc intéressant de considérer cette diversité générationnelle et l’orienter vers un axe permettant un transfert de connaissance différent de la version classique (Senior → Junior). Il s’agit d’un transfert de connaissance inversé appelé “ Tutorat Inversé” ou “Reverse Mentoring”.
Cette nouvelle pratique, qui commence à intéresser quelques entreprises, est tout simplement une situation inverse du tutorat connu, à travers laquelle le Junior transfert des connaissances au Senior. Ici, nous parlons de connaissances technologiques.
En se basant sur une revue de littérature, établie sur la base de 14 articles, nous allons essayer à travers cet article de mettre le point sur les définitions du Reverse Mentoring, ses apports pour les juniors, les seniors et l’entreprise, et à travers des études cas conduits auparavant, des exemples d’entreprises qui ont réussi à implémenter le Reverse Mentoring et d’autres qui ont échoué.
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